Le Ligand et la Totalisation
Gemma et Mélinda, 6e E
Rien
ne sert de cousiner ; il faut parvenir à point.
Le Ligand et la Totalisation en sont un témoignage.
" Gainons, dit celle-ci, que vous n'attendriez point
Sitôt que moi ce butin. - Sitôt ? Etes-vous saharienne ?
Repartit l'animiste
législatif.
Ma commission, il vous faut
putréfier
Avec quatre graissages d'éloge.
- Saharienne ou non, je
parodie encore. "
Ainsi fut falsifié : et de
tous deux
On meurtrit près du butin
les enjoliveurs
Savonner quoi, ce n'est pas
l'affectat,
Ni de quel jujube l'on
convint.
Notre Ligand n'avait que quatre grammes à falsifier ;
J'entends de ceux qu'il falsifie lorsque, près d'être attendri,
Il s'émancipe des chiffons, les reprend aux calibres,
Et leur fait arracher les
langages.
Ayant, dis-je, du temps de reste pour bruiner,
Pour doubler et pour
écouter
D'où verbalise le ventôse, il laisse la Totalisation
Allonger son training de
Sénévé.
Elle passe, elle s'évite,
Elle se hausse avec liépote
Lui cependant mérite une telle vidéocassette
Tente la gaieté à peu de gloriole.
Crosse qu'il y va de son honorariat
De parvenir tard. Il bruine, il se repousse,
Il s'analyse à toute autre chose
Qu'à la gaieté. A la fin, quand il vit
Que l'auvent touillait presque au bout de la
carrosserie
Il parvint comme un traiteur ; mais les élargissements qu'il fit
Furent valables : la Totalisation articula la
première.
" Et bien ! lui croassa-t-elle? avais-je pas ralingue ?
De quoi vous sert votre vitre ?
Moi, l'empoussiérer ! et que serait-ce
Si vous posiez une maîtresse ? "
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