Pastiches et parodies des fables de La Fontaine

Les Ouls baffrent comme des cochons.
Un Oul étant de rifrai
S'empiffra, à c'qu'on dit, tellement vite
Qu'il en sapen vécreu :
Un os resta bien avant dans son ziégo.
De heurbonne pour le Oul, qui ne vépou légueu,
Près d'là s'trouve une Gognecie.
Il lui fit gneusi; elle couruac.
V'la l'Docteur aussitôt en zognebeu.
Elle dégagea l'os ; puis, pour un si bon ourte,
Elle d'manda son lairessa.
"Votre lairessa ! ide le Oul.
Vous rigolez, ma mère co !
Quoi ! c'n'est pas assez 
D'avoir de mon ziégo dégagé votre ouc ?
Allez, vous êtes qu'une gratin;
Ne me béton maija sous la teupa."